Lauréates 2023

Marie-Eve est finissante en génie informatique. Après s'être inscrite en génie informatique en tirant à pile ou face, elle a effectué cinq stages en entreprise via le régime coopératif, dont un stage chez Tesla, au Nevada, ainsi que chez Google, en Californie. Également, elle est impliquée dans le comité exécutif de la promotion finissante en tant que représentante des étudiants en génie informatique. 

Jacty est une étudiante en génie informatique. Elle s’est affiliée au groupe TI en Herbe dans lequel elle collabore avec des étudiant.es du secondaire pour briser les barrières qui perpétuent les déséquilibres homme-femme dans les domaines de l’informatique. De plus, elle occupe le poste de trésorière au sein du groupe Jeux et Défis Informatiques de Sherbrooke, dans lequel elle œuvre pour une participation inclusive des personnes intéressées par l'informatique dans des compétitions d'envergure, en plus de s’impliquer dans l’AGEG, que ce soit en tant que bénévole pour la remise du S d’or ou comme directrice des Fonds à la Directrice. Elle désire contribuer à l’épanouissement des étudiant.es actuels et futurs de l’Université de Sherbrooke. 

Mia est une étudiante en génie biotechnologique. Elle a occupé le poste de Vice-Présidente au Développement durable et aux Affaires légales de l’AGEG et de Responsable des partenariats externes de BistroBrain. Elle s’est impliquée dans le groupe étudiant Reactμs-β, en plus du rôle de vice-présidente à la planification de la conférence sur le développement durable en ingénierie. Par l’entremise de ses implications, elle veut contribuer à édifier un monde où les femmes ingénieures prospèrent, trouvent inspiration et établissent des liens fructueux pour façonner collectivement l’avenir de l’ingénierie. 

Fanny est finissante en génie robotique. Elle s’est impliquée comme cheffe d’intégration, représentante de robotique dans le cadre d’organisation d’événements de réseautage des nouveaux étudiants en robotique, ambassadrice aux portes ouvertes, à la journée des admis et pour les capsules s’installer à Sherbrooke. Elle a leader des équipes comme les jeux de génie ou le comité 5@8, elle a organisé plusieurs événements, elle a excellé lors de compétitions d’ingénierie et elle a démarré le projet Angelot au 5@8. Ses implications lui ont permis de prendre de l’assurance au fil des années, et elle espère que son passage à l’Université de Sherbrooke a eu et aura un impact sur les prochaines promotions. 

Axelle a débuté son parcours en génie mécanique à l’automne 2023. Avant cela, en 2019, elle a débuté des études en physiothérapie. Comme elle croit qu’il est important de persévérer dans un champ d’études qu’on aime, elle est allée au bout du programme de physiothérapie tout en ayant une pensée pour le génie, un domaine dont elle restait curieuse d’en apprendre davantage. Aujourd’hui, après avoir complété le programme de physiothérapie, elle voit une opportunité d’approfondir la mécanique et de possiblement faire converger ces deux spécialités. En effet, avec ses connaissances de physiothérapeute et celles à venir en génie, elle souhaite contribuer à faire avancer la technologie en santé, notamment dans des applications liées à la biomécanique du corps humain. 

Geneviève a débuté son parcours en génie mécanique à l’automne 2023. Elle a débuté un baccalauréat en enseignement des mathématiques au secondaire à l’automne 2021, durant lequel elle s’est impliquée dans le conseil exécutif son association étudiante, en plus de participer à l’organisation des intégrations de son baccalauréat. Elle a aidé à rebâtir plusieurs projets perdus lors de pandémie, tels que l’ouverture d’une salle disponible pour les étudiants, la réorganisation des 5 à 8 et autres. Puisqu’elle ne possédait pas tous les préalables pour l’entrée en génie, elle a effectué un certificat à la Faculté des sciences. Elle entre maintenant dans ce nouveau programme, convaincue d’être à sa place. 

Gaëlle a débuté son parcours en génie biotechnologique à l’automne 2023. Depuis plusieurs années, elle a un intérêt face au domaine de l’ingénierie. Elle perçoit l’ingénierie comme bien plus qu’une profession; c’est un moyen d’explorer, de créer et de contribuer au progrès de l’humanité. D’autre part, sa passion pour la biologie est profondément liée à son désir de contribuer positivement au monde qui l’entoure. Elle débute son parcours en génie biotechnologique avec une combinaison d’enthousiasme et de détermination. Elle croit fermement que cette voie d’études lui permettra de fusionner sa passion pour la biologie et sa curiosité pour l’ingénierie, lui donnant ainsi les compétences nécessaires pour façonner l’avenir de la biotechnologie.

Amélia a débuté son parcours en génie biotechnologique à l’automne 2023. En secondaire 5, comme projet personnel, elle a décidé d’en apprendre davantage sur le domaine du génie biomédical tout en codant un bras robotique. On lui a mentionné que c’est habituellement un projet que les garçons font. Également, elle a participé seule au défi science on tourne Tire-toi une bûche, visant à créer un bolide étant capable de faire un aller-retour avec des billots de bois, et ce, utilisant uniquement l’énergie fournie par des élastiques, durant lequel elle compétitionnait avec deux équipes masculines. Elle débute son baccalauréat avec le désir de motiver et inspirer les autres jeunes femmes en sciences à poursuivre leur passion, et elle souhaite prouver à tous que les femmes ont définitivement leur place dans le domaine de l’ingénierie.